CONCERTS
Munich 2025 (4) :
Tabernacle !
Nonobstant quelques réserves vocales surprenantes pour une maison comme Munich, L’Or du Rhin monté par Tobias Kratzer captive par son habileté théâtrale et ses choix d’interprétation. Vladimir Jurowski et son Orchestre d’État de Bavière sont avec le Wotan de Nicholas Brownlee les autres atouts d’un Ring qui promet beaucoup.
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CONCERTS
Munich 2025 (3) :
Le chant du lotus
Konstantin Krimmel et Ammiel Bukashievitz livrent avec la complicité de Maren Ulrich le plus vivant des hommages à Heinrich Heine. L’alternance mesurée de textes et Lieder se fait sans aucune pesanteur et souligne la richesse de l’univers du poète. Une soirée à l’aune du talent du baryton originaire d’Ulm, qui se montre au sommet de son art.
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CONCERTS
La Roque 2025 (4) :
Le magicien aux semelles de vent
Adulé dans le monde entier, le pianiste britannique Benjamin Grosvenor fait face à un vent perturbateur à La Roque-d’Anthéron qu’il domestique par sa capacité à projeter le son, alternant moments poétiques et beauté expressive dans un récital où les élans schumanniens répondent aux évocations des Tableaux d’une exposition de Moussorgski.
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EN BREF...
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CONCERTS
La Roque 2025 (3) :
Une divine surprise
L’exécution libre, inventive et hautement personnelle du jeune Alexander Malofeev dans le concerto L’Empereur mais aussi la prestation irréprochable de l’Orchestre national Avignon-Provence sous la houlette de Débora Waldman dans la célébrissime Symphonie Héroïque de Beethoven procurent à la Roque-d’Anthéron un plaisir de chaque instant.
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CONCERTS
La Roque 2025 (2) :
Schubert au coude-Ă -coude
Depuis sa victoire au prestigieux Concours international de l’ARD de Munich en 2021, le duo de piano à quatre mains Geister duo s’est imposé comme l’une des formations majeures dans cette catégorie. Au Festival de la Roque d’Anthéron, son interprétation de la musique pour piano à quatre mains de Franz Schubert a enthousiasmé le public.
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CONCERTS
Munich 2025 (2) :
La dernière épreuve d’Ulysse
Le Théâtre du Prince régent, avec son ambiance de petit Bayreuth, forme une caisse de résonance à l’univers sonore d’un des compositeurs français les plus réceptifs à Wagner. La direction de Susanna Mälkki délivre des harmonies subtiles, tandis qu’une distribution inintelligible grève la représentation et qu’Andrea Breth accentue les faiblesses théâtrales de cette Pénélope fauréenne.
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